P1 : Marloie - Wellin 3-2
SOURCES : L'AVENIR
Thomas Schroeder dans l'équipe type !
Buts : 2' Schroeder (0-1), 10' Sébastien Grégoire (1-1), 18' Lejaxhe (1-2), 40' Patrick Collin (2-2), 78' Manu Mahin (3-2)
Première victoire de Marloie sur le Gerny
2', Une longue rentrée dont Daphné a le secret est reprise victorieusement de la tête par Thomas Schroeder (0-1)
10', coup franc excentré pour Marloie. E. Mahin distille un caviar pour la tête de Grégoire (1-1)
18', Arnaud Lejaxhe met fin à une phase confuse dans le rectangle de Pepic. Wellin reprend le dessus au marquoir (1-2)
40', encore un coup franc pour Marloie. Cette fois, c'est Collin qui fait parler son pied gauche pour, des 30 m, donner une trajectoire plongeante au ballon. Personne n'y va de la tête et le ballon rebondit au pied du second poteau (2-2)
78' , E. Mahin prend de nouveau ses responsabilités sur phase arrêtée et trompe tout le monde d'une frappe bourrée d'effets (3-2)
Les baloutches ont eu besoin de trois phases arrêtées pour venir à bout d'une équipe de Wellin dominatrice la majorité du temps, coriace dans les duels et tactiquement très bien organisée.
Un soir de grandes premières pour les hommes du président Hérion qui inscrivent leurs premiers buts de la saison sur le Gerny et empochent, du même coup, leurs premiers points à la maison. Notons en plus qu'ils n'avaient encore jamais marqué sur coup franc cette saison. « Nous empochons les trois points, c'est le principal, se félicite Guy Hérion. On peut dire ce que l'on veut, les points, c'est quand même ça qui nourrit la tête ! Surtout en face à un Wellin, une toute bonne équipe qui a la hargne et sait jouer au foot. Honnêtement, si Wellin prenait un point ce samedi, il ne l'aurait pas volé. » Car il est vrai qu'en l'absence de Grégory Servais, les visités ont la plupart du temps cherché leurs marques, accumulant les approximations et les passes en retrait, d'où un nombre limité d'opportunités devant le but de Wigny.
Wellin a de quoi être frustré
Comme ce fut le cas les semaines précédentes, les Wellinois ont toutes les raisons d'être déçus de ne rien engranger alors qu'ils ont fait le boulot. Après un quart d'heure de jeu, si c'est 0-3, personne ne crie au scandale. Pepic a sorti les ballons qu'il fallait lors des périodes creuses de son équipe.
Se basant sur un Thomas Schroeder omniprésent au milieu du jeu, les Wellinois ont développé un jeu solide, musclé, mais construit. « On n'a rien à se reprocher, explique Nicolas Bonmariage. Perdre des points contre la logique du jeu, ça peut arriver de temps en temps, mais trois matches de suite comme ça, ça fait mal. Nous devons continuer à travailler et nous dire que la roue va finir par tourner ! » On ne peut lui donner tort : gagner au nombre d'occasions franches, ça ne remplit pas toujours le réservoir !
SOURCES : SUD-PRESSE
P3C : Wellin 3 - 4 Warmifontaine