lundi 28 novembre 2011

Surplace inquiétant pour Wellin - l'avenir.net


WELLIN :Simon 4 (31', Pisvin 6), Nissenne 5 (54', Liesnard 5), B. Talmas 6, F. Talmas 5 (46', Furnelmont 5), Lessire 5, Debackere 6, Hernalsteen 5, Jacquemart 5, Goffaux 6, Charles 6, Verschoren 6.
LIBRAMONT :Nique 6, Keller 7, Ant. Poncelet 6, Toubon 6, Art. Poncelet 7, Léonard 7, Nélisse 6, Gillard 6 (64', Marcolongo 6), Da Cunha 7, Roset 7 (75', Hentcho), Philippe 6 (63', M. Bigonville 6).
Arbitre :S. Brasseur 7. Aucun carton distribué et des décisions appropriées.
Assistance :80.
Note du match :6.
12', un ballon tendu de Keller est dévié par Simon sur la transversale.
30', coup franc excentré de Gillard, Simon relâche, Toubon pousse au fond. Le gardien wellinois doit sortir, victime d’une entorse (0-1).
44', Roset met quatre joueurs dans le vent avant de battre Pisvin (0-2).
83', raid de Marcolongo (0-3).
Mauvaise opération pour les Wellinois qui restent sur un inquiétant trois sur trente. « Le sort continue de s’acharner sur nous avec les sorties sur blessures de Jean-Marc Simon et François Nissenne, alors que notre noyau était déjà réduit comme peau de chagrin », se désole le coach local Thierry Jacquemart. Un constat qui ne peut pas tout expliquer au niveau du rendement des siens. Bel exemple : deux petites occasions à mettre à l’actif de Goffaux (9') et Verschoren (39') lors du premier acte. Et toutes deux sur des relances approximatives de Toubon et Arthur Poncelet.
Dans l’autre camp, par contre, les Mauves ont fait feu de tout bois avec notamment un joli solo de Roset avant les citrons. Pendant la seconde période, les Mauves ont largement profité des espaces laissés par Wellin. Seul en pointe du combat, Verschoren n’a rien pu faire pour inquiéter un trio défensif sans reproches. Et dans la ligne médiane, Léonard et Nélisse ont pu distribuer sans trouver de véritable résistance en face. De quoi souvent donner le tournis à un adversaire incapable de trouver la solution pour sortir de l’impasse. « Après le premier but, on avait déjà pris un bon coup au moral. Mais, après, c’est sans véritable motivation que nous avons laissé Libramont développer son jeu », concluait amèrement papy Debackere. ¦